J’avais dans l’idée de passer une deuxième journée dans les montagnes d’Hackoné et de rejoindre en fin de journée Julien, un collègue (sans guillemet) qui entame son deuxième voyage au Japon. Mais les no-go zones liées à l’activité volcanique et surtout un temps vraiment pourri m’ont décidé à rejoindre la capitale nipponne dès le matin.
Et vu que sur le trajet retour, j’ai pris un Shinkansen (c’est l’équivalent en encore mieux d’un TGV français), je suis arrivé assez tôt sur place. Comme il pleuvait également ici, j’en ai profité pour aller visiter le musée national de Tokyo, qui m’avait été recommandé par un français avec qui j’avais petit-déjeuné la veille.
Bon, personnellement, ça ne m’a pas transcendé. En me baladant entre les poteries et autres parchemins anciens aux Kenji indéchiffrables, je me suis dit que je préférais l’histoire racontée par les pages Wikipedia que l’histoire racontée par les objets d’un musée. Je vous mets quand même quelques photos, car ce n’est certainement pas le cas de tout le monde:
Le français en question m’avait aussi refourgé un autre plan, que je sentais vraiment pas mal: un restaurant étoilé au Michelin dont la spécialité était des Ramens à un prix super abordable. Julien, qui venait de débarquer, était assez partant, et donc on s’est rendu sur place, en craignant juste d’avoir à faire un peu la queue. La queue, il n’y en avait pas du tout: le resto était fermé (jour de fermeture).
Du coup, on s’est dirigé vers Shibuya, où on s’est trouvé un resto sympa dont la spécialité était la fondue japonaise. C’est simplement excellent, et on n’a pas regretté d’avoir prix la formule « bouffe + boisson » à volonté.
On est quand même resté sage en fin de soirée, car le lendemain, je me devais me lever tôt pour partir pour Nikko.
Chui un peu comme toi, pas fan des musées mais les fondues.. ça j’adore 😅