Je fini mon périple nippon par une dernière étape à Osaka, la deuxième capitale économique du pays. A vrai dire, c’est surtout une destination qui m’est imposée par le fait que mon rail pass (qui avait une durée de validité de 15 jours) expire le 7 novembre, et que le 8 au matin, j’ai prévu d’y prendre un bateau destination Shanghai.
Je profite néanmoins d’être sur place pour faire un tour au centre ville et tester des dernières curiosités culinaires, tel les gyoza, les rice dumplings ou le melonpan.
C’est aussi le lieu où j’ai choisi de tester un vraie capsule hôtel pour ma dernière nuit dans l’archipel.
Le soir, je décide d’aller dans un troquet pour commencer à faire le trie dans mes photos et essayer de rattraper le retard que j’ai accumulé concernant la publication d’article sur ce blog. Mais au bout d’à peine 15 minutes, je me fais accoster par Stephan, un américain qui vit au Japon depuis 31 ans. Tant pis, ce blog attendra.
Il me confie avoir plusieurs métiers: il gère des restaurants, travaille dans la mode et fait aussi de la programmation. Je lui confie que je connaissais déjà des pâtissiers-soudeurs, des aide-maçons sociologues ou des chômeurs-golfeurs, mais que c’était le premier styliste-cusito-informaticien que je rencontrais.
En sortant, on me propose plusieurs fois des massages (dont certains avec “happy-end”). J’opte finalement pour une version plus traditionnelle, en me disant que ça ne pourrait pas me faire de mal après ces 2 semaines sur les chapeaux des roues, et avant les 2 jours de traversée en mer à dormir sur un futon dans une salle commune. Et bien je me trompais: le thérapiste (c’était un homme) qui m’a manipulé m’a juste démonté: un vrai massage traditionnel japonais, c’est comme un vrai massage traditionnel thaïlandais: c’est loin d’être plaisant. En tout cas, pas sur le moment !
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