J’arrive à Pékin vers 10 heures, bien reposé : le voyage en train s’est très bien placé, et les couchettes « hard-sleeper » ne sont pas de simples planche de bois: j’ai quand même eu le droit à un petit matelas d’environ 5 cm d’épaisseur qui me suffit amplement (mais qui n’aurait certainement pas plu à Seb). Et j’ai déjà eu pire dans certaines auberges de jeunesse.
Je décide de marcher les 3 kilomètres qui me séparent de mon logement pour visiter un peu la ville. Ça n’a pas été une grande idée : les quartiers traversés n’avaient absolument aucun intérêt. Quand j’arrive au point indiqué par le GPS, j’ai le plus grand mal à trouver mon hostel : aucune indication. Au bout d’une demi-heure de recherches infructueuses, je me demande même si l’adresse existe. Heureusement, je croise une jeune fille traînant une grosse valise. Je l’aborde et elle me conflit qu’elle cherche bien effectivement le même endroit. Au final, c’est elle qui trouvera la bonne porte, après 10 bonnes minutes de recherches supplémentaires. J’étais passé au moins 3 fois devant sans comprendre que c’était le lieu recherché.
L’après-midi, je la consacre à la visite de la cité interdite.
Et pour finir la journée, je vais faire un tour sur la place Tienanmen. Pour info, il faut présenter son passeport pour pouvoir prétendre à rentrer sur la 4ieme plus grande place du monde.
Demain, j’irai voir la grande muraille, qui est la raison principale de ce passage par Pékin.
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