Guilin

Je suis arrivé à Guilin le dimanche soir en toute fin de soirée. Vu qu’il n’y avait plus de transport en commun, j’ai du prendre un taxi pour faire les 6 km qui me séparaient du centre ville (ça m’a coûté environ 3 euros, au lieu des 0.25 euros de bus: le transports intra-muros ne sont vraiment pas cher en Chine).

Le lendemain matin, je l’ai surtout consacré à des tâches administratives et autres petites courses de tous genres (nourriture, recharge de carte SIM, achat de cartes mémoires, et visites de pharmacie pour soigner un petit rhum chopé dans les montagnes enneigées). J’ai aussi consulté pas mal de site Internet pour en savoir plus sur ma région et préparer la suite de mon voyage.

En me renseignant sur les formalités des visas au Vietnam, au Philippines, à Macau et à HongKong et après avoir consulté le prix des billets d’avions, je me suis rendu compte que mon idée de quitter la Chine par le Vietnam pour rejoindre les Philippines depuis Hanoi allait me coûter cher. J’ai donc décidé de changer le planning initial et plutôt opter pour un vol depuis HongKong, avec un retour Manille-Hanoï.

Le soir, je rencontre 3 germanophones (2 allemands et un suisse) qui hésitent sur la façon de visiter les rizières de Longji. En en discutant autour d’une bière, on décide de prendre un taxi commun et de partager les frais à quatre.

Le lendemain, on se retrouve donc au petit déjeuner et notre chauffeur arrive un peut après 8h. Direction les rizières en terrasses de Jinkeng.

Les habitants du village de Dazhai sont des Yao, l’une des nombreuses minorités ethniques de Chine. La particularité des femmes Yao, c’est leur chevelure, qu’elles arrivent à garder très longue grâce à un shampoing à base de riz.

Et le soir, retour à Guilin et ses rues animées :