J’arrive à El Nido en fin de journée en compagnie d’Irénée, de Vince et de sa copine. Et bien sûr, la première chose qu’on fait, c’est partir à la recherche d’un hébergement. On se dirige vers l’adresse que m’a donné Jackie, la dame qui a partagé notre dortoir à Puerto Princesa et on tombe sur un hostel dans la rue indiquée. Le prix est très bas. On demande à visiter la chambre. Le prix descend encore. Au final, on restera une seule nuit à cet endroit, qui n’était pas équipé de douche, mais juste d’un seau d’eau à côté du chiotte (pas top pour se laver les dents).
Le lendemain, on fera un tour en bateau pour visiter la région, qui offre des paysages exceptionnels ! C’est la dernière activité que je ferais avec Irénée, qui doit réparti en Chine avant de rejoindre sa famille pour les fêtes de Noël.
Les jours suivants, je loue un scooter pour aller visiter l’intérieur des terres.
Je suis d’abord aller visiter la plage de Las Cabanas.
Après avoir marché un bon moment et quitter la partie touristique, je rencontre une vieille dame qui m’explique qu’elle habite à 50 mètres à l’intérieur des terres. Après une petite conversation, elle m’invite à visiter son jardin, sa maison et aussi celle de sa voisine, une jeune maman avec 4 enfants en bas-âges. Elle m’invite aussi à partager son repas. J’accepte en lui disant que je payerai ma nourriture, comme si j’étais au restaurant. Je déjeunerai donc au milieu des poules et des chiens qui pullulent autour de sa maison, mais aussi des enfants de la voisine qui vivent apparemment dans les 2 maisons. Je lui demande pourquoi elle a tant de chiens et comment elle fait pour les nourrir. Elle m’explique qu’elle leur sert essentiellement des noix de coco et des bananes, bananes qu’ils sont d’ailleurs sensés protéger des singes qui habitent dans la jungle juste derrière chez elle.
Elle me servira une énorme portion de riz, et me demande si j’aime les sardines. Je répond positivement, m’imaginant déjà goûter aux poissons franchement pêchés par son mari. Au final, elle ouvrira une boîte, et je me sens coupable de piller ses pauvres réserves.
Puis je suis parti à Sibaltan pour visiter le pays et aussi voir au passage s’il y a moyen de faire une bonne session de Kitesurf dans le coin.
En revenant, je m’arrête sur la place de Nacpan pour admirer le couché de soleil.
Le soir, en consultant la météo locale, je constate que mes meilleurs chances de pouvoir kiter, c’est le lendemain. Je reloue donc le scooter pour m’y rendre le lendemain, en espérant que la météo réelle soit alignée avec les prévisions. Bien sûr, il n’y a pas eu un pet de vent.
Vu que la météo ne semble pas très compatible avec cette activité les prochains jours, j’abandonne El Nido le lendemain, direction Coron, qui est paraît-il encore plus joli !
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